"La Tunisie vie comme une deuxième révolution arabe"
Mondial Tourisme : Nous connaissons maintenant ce qu'ont vécu les Tunisiens en 2011
Il est plus que probable que les schémas traditionnels de l’industrie touristique seront impitoyablement balayés par la pandémie de Covid-19. La bonne nouvelle, c’est que le tourisme se réinventera. Sa résilience et sa capacité à muter sont aussi grandes que celle du virus qui sape aujourd’hui ses fondements…
En moins d’un mois, les perspectives d’embellies du secteur touristique tunisien, qui ambitionnait les 10 millions de visiteurs en 2020, ont été rattrapées par la pandémie.
Malheureusement, ils vivent comme une deuxième révolution arabe, un véritable coup de tonnerre qui pousse à l'arrêt tout un pays, fait savoir à TourMaG.com, Selatt Erdogan, le directeur commercial de Mondial Tourisme.
"C'est une destination qui commençait à reprendre des couleurs dans toutes les régions et encore certains hôtels n'ont toujours pas rouvert depuis la révolution arabe. Son impact reste très important pour le pays.
Au moment où le pays se trouvait en pleine reprise, tout s'écroule et la Tunisie va devoir recommencer.
Pendant cette période il n'y avait plus aucune activité dans tout le pays, nous connaissons maintenant ce qu'ont vécu les Tunisiens en 2011.
Pour conclure, j'aimerais adresser un message à tous les professionnels du secteur : je vous souhaite tous un grand courage, pour affronter cette épreuve." ajoute Selatt Erdogan, en tant que expert de la Tunisie.
Encore une fois, notre secteur risque d'être le plus touché... Mais on va reprendre des couleurs ..
S.D
C'est une destination qui commençait à reprendre des couleurs dans toutes les régions et encore certains hôtels n'ont toujours pas rouvert depuis la révolution arabe. Son impact reste très important pour le pays.
Au moment où le pays se trouvait en pleine reprise, tout s'écroule et la Tunisie va devoir recommencer.
Pendant cette période il n'y avait plus aucune activité dans tout le pays, nous connaissons maintenant ce qu'ont vécu les Tunisiens en 2011.
Pour conclure, j'aimerais adresser un message à tous les professionnels du secteur : je vous souhaite tous un grand courage, pour affronter cette épreuve.
Encore une fois, notre secteur risque d'être le plus touché.
