Optimiste, il a rassuré les hôteliers qui ont fourni leurs hôtels pour héberger les rapatriés.
Les efforts étaient centralisés sur mettre en place des équipes médicales à l’intérieur et sécuritaires et à l’extérieur. Des contrats ont été signé avec des entreprises privées pour nourrir les confinés, dans les normes de la salubrité (des plateaux individuels cachetés).
L’État a pris en charge les factures d’eau, d’électricité et de gaz pendant le confinement, ainsi la prise en charge des dégâts qui pourront survenus aux unités touristiques.
Des mesures plus ambitieuses seront nécessaires afin de sauvegarder le secteur à long terme, reconnaît Mohamed Ali Toumi. Étant un secteur fortement endetté, sa pérennité dépend de plus de solvabilité et des prêts destinés à couvrir les dépenses d’exploitation des entreprises touristiques.
Ainsi, le ministre a mentionné que cette crise pourrait servir de catalyseur pour des réformes plus profondes de l’industrie du tourisme tel que repenser les produits du tourisme de santé.
Il a également indiqué qu'un accord sera signé aujourd'hui avec l’UGTT pour verser les salaires du mois d'avril.
E.ch