C’est la Tunisienne Hayet Guermazi, directrice du département de la culture à l’Organisation arabe pour l’Education, la Culture et les Sciences (ALESCO), qui assure la coordination de cette initiative.
Des réunions préparatoires de coordination se tiennent entre les experts des 16 pays concernés à savoir l’Algérie, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, l’Egypte, les Emirats arabes-unis, l’Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, le sultanat d’Oman, la Palestine, le Soudan, la Tunisie et le Yémen.
Le dossier de candidature pour l’inscription de la calligraphie arabe sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité est une initiative de l’Arabie Saoudite. Un atelier sur les arts de la calligraphie arabe avait eu lieu du 2 au 6 février dernier, à Riyad (Soudan), au profit des experts des divers pays concernés.
Les pays arabes souhaitent inscrire ce patrimoine immatériel commun au patrimoine de l’humanité, caractéristique de l’identité arabe commune, à l’image de plusieurs autres formes d’arts de calligraphie qui figurent sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.