Dix ans déjà. Une décennie d’émotions, de défis et de succès pour La Badira, l’hôtel de luxe qui s’est imposé comme une référence en Tunisie. À l’occasion de cet anniversaire, sa fondatrice, Mouna Ben Halima, revient sur cette aventure exceptionnelle et partage son regard sur le chemin parcouru.
La Badira fête ses 10 ans : Mouna Ben Halima revient sur une aventure exceptionnelle
Dès le départ, Mouna Ben Halima avait une vision claire pour La Badira : "Je voulais créer un endroit exceptionnel où les clients viendraient se ressourcer et s’évader du quotidien." Ce rêve est rapidement devenu réalité grâce à un travail acharné et une attention particulière portée à l’atmosphère du lieu. "J’ai beaucoup travaillé sur la zénitude et la sérénité des espaces depuis l’ouverture de l’hôtel, une signature qui fait rayonner La Badira", confie-t-elle.
Aujourd’hui, La Badira est bien plus qu’un simple hôtel : c’est une expérience immersive où chaque détail a été pensé pour offrir à ses visiteurs un séjour inoubliable.
Dix ans après son ouverture, La Badira continue de briller sur la scène hôtelière. "Les clients en sont la meilleure preuve, ils ont fait de La Badira ce qu’elle est aujourd’hui", souligne Mouna Ben Halima. Ce succès repose aussi sur une équipe exceptionnelle qui, chaque jour, s’efforce de faire vivre la promesse d’excellence de l’établissement.
Cette aventure n’aurait pas été possible sans la confiance et le soutien des clients fidèles. "Merci à vous, nos clients fidèles, qui nous avez fait confiance dès le premier jour et nous avez soutenus tout au long de ces années", exprime-t-elle avec gratitude.
Avec cette décennie de succès, La Badira ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. "L’histoire continue", affirme Mouna Ben Halima, déterminée à porter encore plus haut les valeurs d’excellence et d’authenticité qui ont fait la renommée de l’établissement.
Le futur de La Badira s’annonce prometteur, toujours guidé par cette passion et ce désir de faire rayonner l’hôtellerie de luxe tunisienne sur la scène internationale. Et une chose est sûre : le meilleur reste à venir.
