Mounir Letaief en concert au Sentido Tabarka

Apres le succès de Mounir Troudi à Tabarka, le Sentido renouvelle l'expérience ce samedi avec l’artiste Mounir Letaief.

Mounir Letaief en concert au Sentido Tabarka

Ce concert sera gratuit pour les résidents de l’hôtel avec en plus la possibilité de transfert aller-retour en bus , à partir de Tunis , sur réservation , places limitées: Départ de Tunis vendredi et samedi / retour à Tunis le dimanche. Contact 78672100 / 97245955
 

Retour sur le concert de Mounir Troudi

Pieds nus, après tout c’est l’été, il est entré sur scène devant un public aussi décontracté que lui. Il est vrai que les résidents du Sentido Tabarka Beach, l’un des fleurons des établissements hôteliers de la côte nord tunisienne, étaient heureux qu’on leur offre autre chose que l’éternelle bronzette… Alors, qu’il s’agisse des touristes ou des tunisiens, on était réceptif. Et Mariem Milad, concept manager et artiste dans l’âme à qui l’on doit cet événement exceptionnel, d’enfoncer le clou : « C’est le premier d’une longue série d’événement que je compte organiser pour mettre en valeur notre patrimoine culturel. Il est bien révolu le temps du tourisme tel qu’on le pratiquait dans les années 70. La démocratisation du voyage a poussé les opérateurs du secteur à imaginer des concepts d’hôtellerie et de découverte d’une région ou d’un pays, qui lient à la fois le plaisir, les sensations fortes, le culturel et l’immersion dans ce qui constitue « l’âme » d’un pays ou d’une culture. Et ce afin de répondre à une attente manifeste de la part des voyageurs de nos temps». Aujourd’hui, nos visiteurs, les tunisiens, tout autant que les touristes, sont en attente d’un plus. »

Et c’est un véritable voyage que Mounir Troudi leur a offert, entre rythmes reaggae, une pagaille très gaie de sonorités bédouines, soufi, électro-jazz, ou encore indienne.

Accompagné de ses musiciens Mounir Troudi et ses musiciens. Sami Ben Saïd aux claviers, Hédi Fehem à la guitare, Zied Lakoud à la basse, Abd El Hak Zammour à la batterie et Fakhri Ben Mériem, l’ingénieur du son.

Sayeb Salah ya Ammar ! a-t-il conclut en tirant sa révérence, offrant dans une dernière pirouette cette ode à la révolution au public enchanté par l’intermède qui les a changé de l’élection de Mister Club, du bingo ou encore de la « Danse des canards » proposés par nos hôtels qui n’ont décidément pas compris qu’il est grand temps de revoir leurs classiques.